Jérémie Minville, facteur X

  • Publié le 15 feb 2023 (Mise à jour le 29 apr 2025)
  • Temps de lecture 3 minutes
Hugo Saez

Jérémie Minville vit actuellement sa deuxième saison au sein de l’effectif des Huskies et poursuit pas à pas son ascension dans le hockey junior. Une organisation avec laquelle ce dernier est indéniablement en train de tisser un lien étroit.

Dans la LHJMQ, Jérémie Minville est l’un de ces hockeyeurs que les défenseurs redoutent. Fort de ses cinq pieds onze pour 183 livres, il est un véritable électron libre qui perturbe chaque sortie de territoire des formations adverses. À la poursuite de chaque rondelle qui traîne près de lui et très actif sur la glace, le joueur de 18 ans peut changer à lui seul le cours d’un match. Avant son entrée en scène dans le hockey junior, le gaucher a achevé son ultime saison dans le M17 AAA avec une fiche de 18 buts et 15 passes en seulement 27 apparitions sous le chandail du Canimex M17 Espoir de l’école secondaire Marie-Rivier, une formation de Drummondville, sa ville natale. 

Remuant sur une patinoire, Jérémie Minville l’est également dans ce qu’il entreprend dans la vie de tous les jours par l’intermédiaire de sa personnalité et de ses projets, qu’ils soient de nature personnelle ou professionnelle. Sa destination favorite pour un voyage, les sports qu’il a pratiqué avant le hockey ou encore son parcours scolaire sont des sujets sur lesquels il a accepté de se confier sans concession. 

Si tu devais te décrire caractériellement parlant, qu’est-ce que tu dirais de ta personnalité ? 

Je dirais que je suis quelqu’un de bonne humeur dans la vie et que j’ai tout le temps le sourire. C’est l’fun d’être avec moi, mais j’ai quand même un petit caractère parfois. 

Peux-tu nous raconter tes débuts dans le hockey ? Es-tu passé par d’autres disciplines sportives avant ça ? 

J’ai toujours aimé le hockey puis j’écoutais les Canadiens avec mon père lorsque j’étais jeune. J’ai alors voulu jouer au hockey, il m’a inscrit puis ça a toujours continué jusqu’à aujourd’hui. Sinon j’ai joué au golf, mais aussi au dek hockey et au soccer avant. 

Depuis ton arrivée dans la LHJMQ, tu n’as jamais connu d’autres organisations que les Huskies. Quel est ton meilleur souvenir au sein de la meute ? 

Il y a forcément toutes les victoires, mais je dirais lorsque j’ai marqué mon premier but. J’en retiens que tous les gars et tous les vétérans sont vraiment contents pour toi, surtout lorsque c’est ton premier but. 

Quel est le pays que tu aimerais visiter au moins une fois au cours de ta vie ? 

J’aimerais beaucoup aller en Europe, et plus particulièrement en Italie. Je pense qu’il y a de la très bonne bouffe et de très beaux endroits à visiter. J’ai souvent voyagé dans ma vie, mes parents aiment ça. Je suis déjà allé au Mexique, en République Dominicaine, en Floride, à Cuba. Et mon meilleur voyage parmi ceux-là c’était au Mexique, à Cancun. C’était vraiment l’fun là-bas! 

Imaginons que l’apocalypse zombie arrive. Quelles sont les trois personnes que tu sélectionnes dans ton équipe et pour quelles raisons ? 

Je prendrais d’abord Édouard Cournoyer, parce que c’est un leader puis je dirais qu’il est capable de rester calme dans ces situations-là. Puis après je choisirais Anthony Turcotte aussi, et Émeric Gaudet parce qu’ils sont grands et forts. 

En quoi consistent tes études ? 

Je suis en sciences humaines et c’est ma deuxième année. Ça va vraiment bien, puis avec les Huskies nous sommes bien entourés donc on peut facilement concilier l’école et le hockey. 

Lorsque tu étais plus jeune, quel était le métier de tes rêves ? 

Comme tout le monde, j’ai toujours rêvé jouer dans la ligue nationale. Sinon, rien ne me vient à l’esprit et je suis vraiment indécis par rapport à mon avenir professionnel. 

Si tu devais supprimer toutes les applications de ton téléphone sauf trois, lesquelles conserverais-tu ? Pourquoi ? 

Je dirais Snapchat, parce que c’est mon moyen de communiquer avec mes amis. Instagram, parce que je vois les nouvelles là-dessus aussi. Puis Tiktok, c’est une application qui m’aide parfois à passer le temps. 

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