Bonne nouvelle pour les ex-travailleurs de Mine Matagami

  • Publié le 26 aug 2024 (Mise à jour le 29 apr 2025)
  • Temps de lecture < 1 minute
Ian-Thomas Bélanger

Le syndicat des Métallos annonce la distribution de chèques visant à indemniser davantage les 147 anciens travailleurs et travailleuses de Glencore Mine Matagami, affectés par la fermeture de la mine en juin 2022. 

Le syndicat soutient, à travers un communiqué de presse, que « ces montants substantiels résultent d’un règlement hors cour survenu à la suite d’un grief syndical sur le calcul des indemnités de départ. »

Dans une demande envoyée au Tribunal administratif du travail du Québec, le syndicat avait fait valoir que l’employeur n’avait pas inclus les dites sommes lors du versement de l’indemnité de licenciement et des primes de rétention, à la fermeture de la mine.

« Il nous est impossible de révéler le montant à cause d’une entente de confidentialité avec la compagnie. Il s’agit d’une entente à l'amiable. Toutefois, nous sommes très contents que nos membres aient eu gain de cause en ce qui concerne les indemnités supplémentaires versées », a indiqué le président de la section locale 9291 (Abitibi-Témiscamingue) pour le syndicat des Métallos, Sébastien Rail.

Le syndicat tiendra d’ailleurs 5 rencontres afin de distribuer les chèques, soit le 26 août à Rouyn-Noranda, le 27 août à Matagami, le 28 août à Amos, le 29 août à La Sarre et le 30 août à Val-d’Or.

« Comme plusieurs des travailleurs et travailleuses ont quitté Matagami depuis le temps, nous avons décidé de remettre les chèques en main propre puisque chaque travailleur et chaque travailleuse doit signer une lettre afin de confirmer que l’employé a bel et bien reçu la somme en question », a également expliqué Sébastien Rail.  

Articles les plus consultés

Actualités

KG2 CONSTRUCTION

Actualités

Stéphanie Brushey : au cœur de l’action

Semaine nationale des paramédics
Économie

Agriculture: Ottawa doit créer de nouveaux programmes

Visite du responsable du Bloc québécois en matière d’agriculture et d’agroalimentaire, Yves Perron, en Abitibi-Témiscamingue